à Espaces vectoriels euclidiens réels :
f forme bilinéaire sur E : applic. E²à R linéaire / à chacune des 2 var
f est sym si " (x,y)Î E², f(x,y)=f(y,x)
Produit scalaire : forme bilin, sym, def positive (" xÎ E, f(x,x) ³ 0 et f(x,x)=0 Û x=0)
ex : f((x,y),(x’,y’))=xx’+yy’
Norme assoc : ||x||=Ö (<x|x>)
ineg. de Schwarz : |<x|y>| £ ||x||.||y||
ineg. de Minkowski : | ||x||-||y|| | £ ||x+y|| £ ||x||+||y||
d(M,N)=||MN||
formule de polarisation : <x|y> = ¼(||x+y||²-||x-y||²) identité du parallélogramme : ||x+y||²+||x-y||²=2(||x||²+||y||²)
u et v orthogonaux si <x|y>=0
Th. de Pythagore : u^ v Û ||u+v||²=||u||²+||v||²
qq propriétés : A^ B Û AÌ B^ Û BÌ A^ AÌ B Û B^ Ì A ...
syst. orthog " (i,j)Î I², i¹ j, ui^ uj orthonormé : orthog. Et " iÎ I, ||ui||=1
cad " (i,j)Î I², <ui|uj>=d (i,j)
Tout syst orthonormé est libre.
Procédé de Schmidt pour trouver une b.o.n. de E
on pose u1=e1/||e1||
u’2=e2-<e2|u1>u1 puis u2=u’2/||u’2||
u’3=e3-<e3|u1>u1-<e3|u2>u2 puis u3=u’3/||u’3||
etc ...
F et F^ sont supplémentaires.
à Endomorphismes dans les espaces euclidiens :
f est sym. si <f(x)|y>=<x|f(y)> et antisym. si <f(x)|y>=-<x|f(y)>
f sym Û M(B)(f) est sym (resp. antisym.)
Soit p proj et s sym, ils sont orthog. Û f sym.
Minimum de distance réalisé par la projection :
f orthogonal si <f(x)|f(y)>=<x|y>
O(E) : ens des endom orthog.
fÎ O(E) Û f(B) b.o.n.Û " xÎ E, ||f(x)||=||x||
SO(E)=O+(E) (de det = +1) et O-(E) de det = -1
s sym, s sym orthog. Û autom.orthog.
reflexion : sym ^ / hyperplan retournement : sym ^ / ss ev de dim (n-2)
Matrice orthog. : matrice carrée inversible tq A-1=t A
AÎ On( R) Û At A=In Û t AA=In
à Espaces vectoriels euclidiens de dimension 2 et 3 :
Det(x1,x2,...xn) est le det de ses vect dans une b.o.n.
Dét est une forme n-linéaire alternée
E ev de dim 3, " (u,v)Î E², $ ! wÎ E | " xÎ E, Det(u,vuw)=w.x
w=uÙ v cad " xÎ E, Det(u,v,w)=w.x
(uÙ v)Ù w=(u.w)v-(v.w)u uÙ (vÙ w)=(u.w)v-(u.v)w
Ù n’est pas associatif (ni commutatif).
Si (u,v) libre Þ (u,v,uÙ v) base directe de E
cos q =u.v/(||u|| ||v||) sin q =Det(u,v)/(||u|| ||v||)
Matrices orthog. : avec e
={1,-1} q
Î
[0,2p
]
SO(E)={r(q ), q Î R}
r(q )or(q ’)=r(q +q ’)
Angle de droites : angle entre 2 vecteurs directeurs calculé à p près.
Soit D er D’ ayant pour angle q , s(D) o s(D’) est une rot d’angle 2q et de centre le pt d’intersection
r(q ) o s(D) : réflexion / dte D’ tq (D,D’)=q /2
s(D) o r(q ) : réflexion / dte D’’ td (D,D’’)=-q /2
Th : E ev eucl de dim 3, "
f Î
SO(E), sa matrice est de la forme :
Toute réflexion est le produit de 0 ou 2 réflexions.
Tout autom orthog peut s’écrire comme le produit de 1 ou 3 réflexions.
à Paramétrage de courbes :
F param., F(t)=W +j (t) i+y (t) j j et y sont les eq paramétriques.
F de cl Ck si j et y sont de cl Ck
r=a (t) et q =b (t) : eq param en polaire
Th. de relèvement : FÎ Ck(I,E) avec k ³ 1 tq " tÎ I,F(t)¹ W
alors $ (a ,b )Î (Ck(I,R))² | F=W +a u o b (ou r=a (t) et q =b (t) tÎ I)
a : chgmt de param de Ck : fct Ià I1, a bijective, de cl Ck et a -1 de cl Ck
Soit F et F’ 2 param. : F~k F’ si $ a chgmt de param tq F=F1 o a (ils sont Ck équivalents et positivement si a st croissante).
~k et ~(k,+) sont des rel. d’equivalence.
Arc géom : classe d’équivalence pour ~k (ou ~(k,+) pour un arc orienté)
G a une ½ tg lorsque tà (F(t)-F(t0))/||F(t)-F(t0)|| a une limite en t0- (tg si en t0- et t0+)
M0 est régulier pour G si F’(t0)¹ 0
il est birégulier si (F’(t0),F’’(t0)) est libre
M0F(t) se décompose localement dans la base (F’(t0),F’’(t0)) avec une ordonnée >0
$ (i,j)Î [[1,k]]² tq (F(i)(t0), F(j)(t0)) est une base de E, i<j (soit p et q ces + petits entiers)
On a le d.l. :
Position de la courbe :
Recherche pratique de la nature d’un point sur une courbe :
à on calcule les derivées successives de j et y
à on cherche un d.l. de j et y à un ordre suffisant.
à Propriétés métriques des arcs géométriques :
Longueur de G
: "
F param. [a,b] à
E de G
: abscisse curviligne de M pour l’origine M0(t0)
Param. normalisé de G : tout param. G :Jà E tq " sÎ J, ||G’(s)||=1
Soit un arc géom de cl Ck (k³ 1) sans pt doubles : il a param normalisés Û pas de pts singuliers.
Repère de Frenet : G un arc géom de cl Ck (k³ 1)
(F(s),t,n) tq t dirigé par la ½ tg en F(s) et qu’il soit o.n. direct
ex : la chaînette (y=ach(x/a))
ellipse, parabole, cycloïde ...
Courbure : G : Jà E normalisé, " s, (F(s),t(s),n(s)) rep de Frenet, $ j : Jà R tq " sÎ J, t(s)=u(j (s)) et n(s)=u1(j (s))
j (s) est l’angle de contingence de la ½ tg en M(s)
c(s)=j ’(s) est appelé la courbure de G en M(s)
Formules de Frenet : " sÎ J, t’(s)= j ’(s)n(s) et n’(s)=- j ’(s)t(s)
Rayon de courbure : R(s)=1/c(s)
Centre de courbure : W (s)=F(s)+R(s)n(s) (Le cercle de centre W (s) et de rayon R(s) approche le mieux la courbe en M).
à Développée : ens des centres de courbure
a (u) : longueur de l’arc, G param normalisé G=Foa -1, t(a (u))=F’(a (u))/a ’(u) et t’(a (u))a ’(u)=(toa )’(u)=c(a (u))n(a (u))a ’(u)
Application à la cinématique
à Etude des courbes définies par une eq polaire :
r=f(q ) Û F(q )=W +f(q ).u(q ) avec u(q )=cos q i+sin q j
Si f a une période T : F invariante par rot d’angle T.
f p -périodique à int de longueur p et sym / W
f 2p -périodique à int de longueur 2p (toute la courbe)
" q Î I tq q +p Î I, f(q +p )=-f(q ), f est 2p périod. Et F est p périod.
Vérifier s’il y a des symétries éventuelles
les tg en M0(q 0)=W sont les droites passant par W d’angle polaire q 0
aux autres points : F’(q )=f’(q )u(q )+f(q )u1(q ) avec f(q )¹ 0
Pt d’inflexion lorsque Det(F’(q ),F’’(q )) s’annule en changeant de signe
Branche infinie lorsque f(q )à ± ¥
Courbes classiques :
Eq générale : r=a/(b+c cos q +d sin q ) (a=0 pt W , c=d=0 : cercle de centre W , b=0 dte ne passant pas par W , a¹ 0, b¹ 0 à conique ).
à Géométrie analytique :
Dte passant par A(x0,y0) dirigée par u(a ,b ) : b (x-x0)-a (y-y0)=0, orthog à N(u,v)¹ 0, ux+vy+h=0
Eq normalisée :ux+vy+h=0 lorsque u²+v²=1
Cercles d’Appolonius : courbes de niveaux ...
coniques : ens M tq d(F,M)=e d(M,D) Û (1-e²)x²+y²-2epx-p²=0
e=1 parabole, e<1 ellipse, e>1 hyperbole ...
Recherche inverse : Ax²+By²+Cx+Dy+E=0
A(x+a )²+B(y+b )²=E’
A(x+a )²+B(y+b )²=E’
L’hyperbole est équilatère si les asymptotes sont orthogonales.
Ellipse : f et F’ les 2 foyers " MÎ E, MF+MF’=2a
Hyperbole : |MF’-MF|=2a et réciproquement
Géométrie en dim 3 :
On distingue les surfaces et les courbes
Eq plan : passant par A et dirigé par plan : Vect (U(a ,b ,g ),U’(a ’,b ’,g ’)) (on écrit le déterminant égal à 0)
eq de la forme : ux+vy+wz+h=0 et
ou eq param. M=A+l U+l ’U’
eq param de dte :
Faisceau de plans :
Soit D une dte d’eq les plans contenant D sont :
l
Î
R
eq de sphère : (x-a)²+(y-b)²+(z-c)²=R²
eq param cercle donné par plan, centre, rayon.
Proj ^ cercle sur plan est une ellipse
Distance dte-point : D : ux+vy+h=0 M0(x0,y0)Î E Þ d(M0,D)=|ux0+vy0+h|/Ö (u²+v²)
dans l’espace : d(M0,D)=|ux0+vy0+wz0+h|/Ö (u²+v²+w²)
dans l’espace : d(M0,D)=||MoAÙ u||/||u||
Angles : (AB,CD)=arg ((d-c)/(b-a))
condition d’alignement : ABC alignés Û (b-a)/(c-a)Î R
condition d’orthogonalité : AB ^ AC Û (d-c)/(b-a)Î iR
condition de cocyclicité : ABCD cocycliques Û (c-a)(d-b)/((d-a)(c-b))Î R
à Application affines dans les espaces vectoriels euclidiens :
I(f)={MÎ E | f(M)=M}
isométrie : " (M,N)Î E², ||f(M)f(N)||=||MN||
f isom. Û f applic. affine et g (endom. assoc.) est orthogonal.
à SO(E) : isom >0 ou déplacement
à O-(E) : isom <0 ou antidéplacement
H et H’ 2 hyperplan parallèles s(H’) o s(H)=t(2u) avec t(u)(H)=(H’) et réciproquement
H et H’ 2 hyperplans non parallèles s(H’) o s(H) Î Is+(E)
Hyperplan médiateur
en dim 2, rot affine (...)
Dans le plan : Is+(E)=TÈ {rot. affines}
Similitudes : d(f(M),f(N))=k.d(M,N)
Si rapport >0 (simil directe) : composées d’isom. et d’homoth. affines de rapport ¹ 0
Th. : décomposition simil directe en rot et homothétie.
$ ! Simil directe | s(A)=A’ et s(B)=B’
en dim 3, O+(E)={rot. vectorielles}
rot d’axe D d’angle q pou l’orient de u (conserve D ...)
Vissage : composée d’une rot d’axe D d’angle q pour l’orient de u et d’une translation de vecteur l u
Les isom >0 sont les vissages